Il faut robotiser, digitaliser au maximum les économies, mais il faut aussi gérer les conséquences de la robotisation
Il serait irresponsable pour un pays de freiner la robotisation, la digitalisation de son économie , l’intelligence artificielle ; la robotisation : soutient la part de marché du pays dans l’industrie mondiale, alors que la concurrence pour ces parts de marché devient très sévère ; crée du revenu, accroît la productivité. Mais la robotisatio n accélère la bipolarisation du marché du travail, entre les emplois sophistiqués et bien payés dans les Nouvelles Technologies et les emplois peu sophistiqués et mal payés dans les services domestiques. L’acceptation de la robotisation doit donc entraîn er la mise en place de politiques de formation, de requalification et de politiques redistributives actives, mais il ne faut pas se cacher la difficulté, avec la concurrence fiscale et la difficulté à augmenter le niveau des emplois de services à la personne.