Les cycles économiques de la Chine sont beaucoup plus violents que ceux montrés par les chiffres du PIB, et ils sont fortement liés aux flux de capitaux
Nous comparons la croissance de la Chine telle qu’elle est officiellement mesurée par le PIB en volume et différents indicateurs normalement pertinents de la croissance : importations, consommation d’électricité et de matières premières, enquêtes, investissement… Notre thèse est que, lorsqu’il y a en Chine pessimisme, sorties de capitaux et en conséquence dépréciation du taux de change, la croissance de la Chine est nettement plus faible que celle montrée par les chiffres du PIB. Ceci s’est vu de 2013 à 2016, et est peut-être en train de réapparaître aujourd’hui.