Sacrifie-t-on la croissance future en réagissant violemment aux récessions ?
Les gouvernements et les Banques Centrales réagissent de plus en plus violemment avec des politique s budgétaire s et monétaire s expansionniste s aux récessions. Mais cette réaction violente peut-elle conduire ultérieurement à une perte de croissance à long terme  ? l ’ endettement public é levé n ’ est pas un problème s ’ il y a monétisation des déficit s public s mis en place pendant les récessions  ; la croissance très rapide de la quantité de monnaie crée de l’instabilité financière qui peut être défavorable à la croissance , en créant de la volatilité, de l ’ incertitude  ; l e soutien des entreprises inefficace s conduit à des entreprises zombie s improductive s et peu dynamiques , annule la « dynamique schump é t é rienne  » ; mais en sens inverse, éviter les faillites limite la perte de capital productif et évite r le chômage limite la perte de capital humain. L’ effet au total de la réaction violente de la politique économique aux récession s est donc in certain. L ’ observation du passé montre que la réaction de la politique économique plus violente aux États-Unis que dans la zone euro après la crise des sub prime s n ’ a pas empêché un recul de la croissance potentielle aussi aux États-Unis. Peut-être la réaction violente de la politique économique a - t - elle au total peu d ’ effet s sur la croissance potentielle.