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Etude de l'AG du 28/04/2017

Conformément au code Afep/Medef auquel la société se réfère, les rémunérations 2016 et 2017 de Dominique Cerutti et Cyril Roger sont soumises à l'approbation des actionnaires. Ces dernières ne respectent pas les préconisations de Proxinvest, compte tenu notamment d'un problème de transparence sur la valorisation de la rémunération actionnariale, qui est mesurée sur une période trop courte pour être considérée comme du long-terme (résolutions 9 à 12). Pour la rémunération 2017, dont le vote est imposé par la loi Sapin 2 cette année, la société n'a pas intégré dans le rapport annuel sa politique d'attribution, mais dans un communiqué de presse qui n'est pas soumis au vote des actionnaires. Cela est problématique en terme de gouvernance et cela nous amène à nous opposer à l'ensemble des rémunérations des dirigeants mandataires sociaux.

Précisons que des défauts dans la composition et la communication des dirigeants mandataires sociaux persistent chaque année, malgré une opposition élevée et répétée des actionnaires (environ 1/3 des actionnaires participant au vote). Cependant, la société a montré une certaine écoute, en proposant une description des taux de réalisation des critères de performance de la rémunération variable annuelle a posteriori ; ce qu'elle ne faisait pas l'année dernière.